Après l'attaque meurtrière de djihadistes supposément membres de Boko Haram dans le village de Kaliari, rattaché à la commune de Mozogo à l'extrême nord du Cameroun, Stéphane Akoa, politiste et chercheur à la Fondation Paul Ango Ela, apporte des éléments de réflexion sur un mouvement terroriste qui demeure vivant, mais s'il s'est affaibli. Et s'interroge sur le sort qui sera réservé aux membres des comités d'autodéfense dans le futur.